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Ordinateur Le Plus Puissant Du Marché

United nations commodity de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

United nations superordinateur ou supercalculateur est united nations ordinateur conçu pour atteindre les plus hautes performances possibles avec les techniques connues lors de sa conception, en particulier en ce qui concerne la vitesse de calcul. Pour des raisons de performance, c'est presque toujours un ordinateur central, dont les tâches sont fournies en traitement par lots.

La science des superordinateurs est appelée « calcul haute performance » (en anglais : loftier-performance computing ou HPC). Cette discipline se divise en deux : la partie matérielle (formulation électronique de fifty'outil de calcul) et la partie logicielle (adaptation logicielle du calcul à l'outil). Ces deux parties font appel à des champs de connaissances différents.

Historique [modifier | modifier le lawmaking]

Superordinateur CDC 6600 avec sa console. Lancé en 1964.

Les premiers superordinateurs (ou supercalculateurs) apparaissent dans les années 1960. En 1961, IBM développe l'IBM Stretch ou IBM 7030, dont une unité est exploitée en France en 1963.

À cette époque, et jusque dans les années 1970, le plus important constructeur mondial de superordinateurs est la société Command Data Corporation (CDC), avec son concepteur Seymour Cray. Par la suite, Cray Inquiry, fondée par Seymour Cray après son départ de CDC, prend l'avantage sur ses autres concurrents, jusqu'aux alentours de l'année 1990. Dans les années 1980, à 50'image de ce qui s'était produit sur le marché des micro-ordinateurs des années 1970, de nombreuses petites sociétés se lancèrent sur ce marché, mais la plupart disparaissent dans le « crash  » du marché des superordinateurs, au milieu des années 1990.

Ce que désigne le terme superordinateur varie avec le temps, car les ordinateurs les plus puissants du monde à un moment donné tendent à être égalés, puis dépassés, par des machines d'utilisation courante plusieurs années après. Les premiers superordinateurs CDC étaient de simples ordinateurs mono-processeurs (mais possédant parfois jusqu'à dix processeurs périphériques pour les entrées-sorties) environ dix fois plus rapides que la concurrence. Dans les années 1970, la plupart des superordinateurs adoptent un processeur vectoriel, qui effectue le décodage d'une educational activity une seule fois pour l'appliquer à toute une série d'opérandes.

C'est seulement vers la fin des années 1980 que la technique des systèmes massivement parallèles est adoptée, avec 50'utilisation dans un même superordinateur de milliers de processeurs. De nos jours, certains de ces superordinateurs parallèles utilisent des microprocesseurs de type « RISC », conçus pour des ordinateurs de série, comme les PowerPC ou les PA-RISC. D'autres supercalculateurs utilisent des processeurs de moindre coût, de type « CISC », microprogrammés en RISC dans la puce électronique (AMD ou Intel) : le rendement en est un peu moins élevé, mais le canal d'accès à la mémoire — souvent un goulet d'étranglement — est bien moins sollicité.

Au XXI due east  siècle, les superordinateurs sont le plus souvent conçus comme des modèles uniques par des constructeurs informatiques « traditionnels » comme International Business Machines (IBM), Hewlett-Packard (HP), ou Bull, qu'ils aient derrière eux une longue tradition en la matière (IBM) ou qu'ils aient racheté dans les années 1990 des entreprises spécialisées, alors en difficulté, cascade acquérir de 50'expérience dans ce domaine.

Utilisation [modifier | modifier le code]

Les superordinateurs sont utilisés pour toutes les tâches qui nécessitent une très forte puissance de calcul, comme les prévisions météorologiques, l'étude du climat (à ce sujet, voir les programmes financés par le G8-HORCs), la modélisation d'objets chimiques (calcul de structures et de propriétés, modélisation moléculaire,etc.), les simulations physiques (simulations aérodynamiques, calculs de résistance des matériaux, simulation d'explosion d'arme nucléaire, étude de la fusion nucléaire,etc.), la cryptanalyse ou les simulations en finance et en assurance (calcul stochastique).

Les institutions de recherche civiles et militaires comptent parmi les plus gros utilisateurs de superordinateurs.

En French republic, on trouve ces machines dans les centres nationaux de calculs universitaires, tels que l'Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS), le Heart informatique national de l'enseignement supérieur (CINES), mais aussi au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) ou dans certaines grandes entreprises, comme Total, EDF ou encore Météo-France [two] .

Conception [modifier | modifier le code]

Composants et architecture [modifier | modifier le code]

Les superordinateurs tirent leur supériorité sur les ordinateurs conventionnels à la fois grâce à :

  • leur architecture, en « pipeline  » (exécution d'une instruction identique sur une longue série de données) ou parallèle (nombre très élevé de processeurs fonctionnant chacun sur une partie du calcul), qui leur permet d'exécuter plusieurs tâches simultanément ;
  • des composants électroniques rapides (structure de type serveurs lame utilisant des processeurs multi-cœur ou des cartes graphiques dédiées au calcul scientifique de dernière génération, de la mémoire vive et des équipements de stockage de masse — disque dur — reliés à la fibre optique en grande quantité,etc.) associés à un système d'exploitation dédié (comme Linux, majoritairement utilisé actuellement [3] ).

Ils sont presque toujours conçus spécifiquement pour united nations sure blazon de tâches (le plus souvent des calculs numériques scientifiques : calcul matriciel ou vectoriel) et ne cherchent pas de performance particulière dans d'autres domaines.

L'architecture mémorielle des supercalculateurs est étudiée pour fournir en continu les données à chaque processeur afin d'exploiter au maximum sa puissance de calcul. Les performances supérieures de la mémoire (meilleurs composants et meilleure compages) expliquent pour une big part l'avantage des superordinateurs sur les ordinateurs classiques.

Leur système d'entrée/sortie (bus) est conçu cascade fournir une large bande passante, la latence étant moins importante puisque ce blazon d'ordinateur n'est pas conçu pour traiter des transactions.

Comme cascade tout système parallèle, la loi d'Amdahl s'applique, les concepteurs de superordinateurs consacrant une partie de leurs efforts à éliminer les parties non parallélisables du logiciel et à développer des améliorations matérielles pour supprimer les goulots d'étranglement restants.

Principaux obstacles techniques [modifier | modifier le code]

D'une role, les superordinateurs ont souvent besoin de plusieurs mégawatts de puissance électrique. Cette alimentation doit aussi être de qualité. En conséquence, ils produisent une grande quantité de chaleur et doivent donc être refroidis pour fonctionner normalement. Le refroidissement (par exemple à air) de ces ordinateurs pose souvent un problème important de climatisation.

D'autre part, les données ne peuvent circuler plus vite que la vitesse de la lumière entre deux parties d'un ordinateur. Lorsque la taille d'united nations superordinateur dépasse plusieurs mètres, le temps de latence entre certains composants se compte en dizaines de nanosecondes. Les éléments sont donc disposés pour limiter la longueur des câbles qui relient les composants. Sur le Cray-one ou le Cray- II , par exemple, ils étaient disposés en cercle.

De nos jours, ces ordinateurs sont capables de traiter et de communiquer de très importants volumes de données en très peu de temps. La conception doit assurer que ces données puissent être lues, transférées et stockées rapidement. Dans le cas contraire, la puissance de calcul des processeurs serait sous-exploitée (goulot d'étranglement).

Historique des records [modifier | modifier le lawmaking]

Date Superordinateur Constructeur Type de processeurs ; fréquence Nombre de processeurs Puissance réelle Emplacement
Z1 Konrad Zuse aneFLOPS Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Chez Konrad Zuse
Z2 Konrad Zuse 5FLOPS Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Chez Konrad Zuse
Z3 Konrad Zuse 5,33Hz 20FLOPS Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Deutsche Versuchsanstalt für Luftfahrt
Heath Robinson(en) TRE 200FLOPS Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Bletchley Park
Colossus Mark I TRE 5kiloFLOPS Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Bletchley Park
Colossus Marker II TRE 5kFLOPS Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Bletchley Park
ENIAC 100kHz lkFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Aberdeen Proving Ground
1956 TX-0 MIT Lincoln Laboratory 18 bits 3 600 83kFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Massachusetts Institute of Engineering science
1958 TX-ii MIT Lincoln Laboratory vMHz , 36 bits 22 000 83kFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Massachusetts Found of Engineering
1958 SAGE(en) IBM 400kFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Usa Air Force
UNIVAC LARC(en) IBM ii 500kFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory et David Taylor Model Basin
IBM 7030 IBM 100MHz, 16K mots de 64 bits 1,iimégaFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Los Alamos National Laboratory
1964 CDC 6600 CDC 10MHz iiiMFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
1969 CDC 7600(en) CDC 36,4MHz 36,4MFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
1974 Star-100 CDC sixteen bits 100MFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
1975 ILLIAC Iv(en) Burroughs 4 × thirteenMHz, 64 bits 256 150MFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Ames Research Center (NASA)
1976 Cray-one Cray 83MHz, 64 $.25 two 166MFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Los Alamos National Laboratory
1981 Cyber-205(en) CDC 32 / 64 bits 400MFLOPS Plusieurs endroits dans le monde
1982 Cray X-MP Cray Cray Vector, 2 × 105MHz two 400MFLOPS Plusieurs endroits dans le monde [4]
1984 Cray 10-MP/48 Cray Cray Vector, 4 × 117MHz 4 800MFLOPS Plusieurs endroits dans le monde [4]
1984 M-thirteen 1gigaFLOPS Drapeau de l'URSS Spousal relationship soviétique
Scientific Enquiry Constitute of Calculator Complexes
1985 Cray-2 Cray Cray Vector, four × 283MHz four 1,7GFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
1989 ETA10-G/8(en) ETA Systems(en) 10,3GFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Université de l'État de Floride
1993 CM-v(en) Thinking Machines Corporation SPARC 1 024 59,7GFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Los Alamos National Laboratory
1993 Numerical Wind Tunnel(en) Fujitsu Fujitsu VPP500 140 124,5GFLOPS Drapeau du Japon Japon
National Aerospace Lab
1994 XP/S140 Intel Intel Paragon 3 680 143,4GFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Sandia National Labs
1994 Numerical Wind Tunnel(en) Fujitsu Fujitsu VPP500 140 170,4GFLOPS Drapeau du Japon Japon
National Aerospace Lab
1996 SR2201 Hitachi Hitachi SR2201 1 024 220,4GFLOPS Drapeau du Japon Japon
Université de Tokyo
1996 CP-PACS Hitachi Hitachi SR2xxx CP-PACS 2 048 368,2GFLOPS Drapeau du Japon Japon
Center for Computational Physics
1997 ASCI Red Intel Intel Paragon ASCI-Red 7 264 i,07téraFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Sandia National Laboratories
1997 ASCI Red Intel Intel Paragon ASCI-Red 9 152 1,34TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Sandia National Laboratories
1999 ASCI Red Intel Intel Paragon ASCI-Red 9 472 2,12TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Sandia National Laboratories
1999 ASCI Cherry-red Intel Intel Paragon ASCI-Cherry-red 9 632 ii,38TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Sandia National Laboratories
2000 ASCI White(en) IBM IBM POWER3 375MHz 8 192 four,94TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
2001 ASCI White(en) IBM IBM POWER3 375MHz 8 192 vii,23TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
2002 Earth Simulator NEC NEC SX6 1 000MHz 5 120 35,86TFLOPS Drapeau du Japon Japon
Yokohama Institute for Earth Sciences
Blueish Gene/L IBM PowerPC 440(en) 700MHz 16 384 36,01TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
Columbia SGI Intel Itanium 2 1 500MHz 8 192 42,sevenTFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Ames Research Center (NASA)
Columbia SGI Intel Itanium 2 ane 500MHz 10 160 51,87TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Ames Research Middle (NASA)
Blue Gene/L IBM PowerPC 440(en) 700MHz 32 768 seventy,7TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
Blueish Gene/L IBM PowerPC 440(en) 700MHz 65 536 135,vTFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
Blue Cistron/L IBM PowerPC 440(en) 700MHz 131 072 280,viTFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
2007 Blue Factor/50 IBM PowerPC 440 2C 700MHz 36 864 478,2-596TFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
2008 Roadrunner IBM PowerXCell 8i three 200MHz 129 600 1,042pétaFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
DoE-Los Alamos National Laboratory, Los Alamos, Nouveau-Mexique
2009 Jaguar (amélioré en Titan) Cray Processeurs six cœurs AMD 224 162 1,759PFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Laboratoire national d'Oak Ridge
2010 Tianhe-1A NUDT Hybride :
Intel Xeon + GPU Nvidia Tesla M2050 + FeiTeng-1000
14 366 + 7 166 2,566PFLOPS Drapeau de la République populaire de Chine Chine
National Supercomputing Center, Tianjin
2011 K calculator Fujitsu SPARC64 VIIIfx 2,0GHz , «Tofu interconnect » 68 544 x,510PFLOPS [5] Drapeau du Japon Japon
RIKEN, Kobe
2012 Sequoia IBM BlueGene/Q, Power BQC 16C 1,threescoreGHz, Custom 16,324PFLOPS [vi] Drapeau des États-Unis États-Unis
Lawrence Livermore National Laboratory
2012 Titan (un Jaguar amélioré) Cray Hybride :
AMD Opteron + Nvidia Tesla K20
560 640 17,59PFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis
Laboratoire national d'Oak Ridge
2013 Tianhe-2 Intel Hybride :
Xeon E5-2692 + Xeon Phi
32 000 + 48 000 33,86PFLOPS Drapeau de la République populaire de Chine Chine
National University of Defence Engineering [7] , Guangzhou
2016 TaihuLight NRCPC / Sunway Sunway SW26010 260C 40 960 93,01PFLOPS Drapeau de la République populaire de Chine Chine
National Supercomputing Eye, Wuxi [8]
2018 Behold Height IBM / Nvidia Hybride :
IBM POWER9 + Nvidia Tesla V100 [9]
nine 216 + 27 648 [ix] 200PFLOPS [10] Drapeau des États-Unis États-Unis
Laboratoire national d'Oak Ridge [xi]
2020 Fugaku Fujitsu / ARM ARM 2,two Ghz [12] 7 300 000 418PFLOPS Drapeau du Japon Japon
RIKEN, Kobe [13]
2022 Frontier 1,aneEFLOPS Drapeau des États-Unis États-Unis , Oak Ridge Leadership Computing Facility [14]

La part des CPU du TOP500 par famille de processeurs (juin 1993 - 2015).

Historique des records en French republic [modifier | modifier le code]

Le supercalculateur Occigen installé par le GENCI au CINES, à Montpellier (2015).

En , l'Institut de Physique du Globe de Paris (IPGP) opère un ordinateur CM-5/128 qui utilise des processeurs SuperSPARC, il est classé 25eastward au TOP500 [15] . Trois ans plus tard, en , l'Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS) parvient à atteindre la 12e  place mondiale avec le T3E construit par Cray [16] .

À la mi-, le plus puissant des supercalculateurs français se classe ive au TOP500, c'est le TERA basé sur des processeurs Blastoff à 1GHz (AlphaServer SC45) et développé par Hewlett-Packard [17]  ; il appartenait au Commissariat à l'énergie atomique (CEA). En , le TERA-10 de Bull lui succède, il génère une puissance de calcul de sixtytéraFLOPS et se placera au ve  rang mondial du TOP500 [eighteen] .

En , l'IDRIS et son Blue Gene/P Solution d'IBM affiche, selon le examination LINPACK, une puissance de 120 téraflops et remporte la xe  place [xix] .

En , la première machine française a pour nom Jade. De type « SGI Altix(en) » elle est basée au Centre informatique national de fifty'enseignement supérieur (CINES) de Montpellier. Ce supercalculateur se classe au 28east  rang mondial avec 128 téraflops au test LINPACK. Peu après, la configuration de la machine Jade est complétée pour atteindre une performance de 237 téraflops. La machine passe en au 18eastward  rang du TOP500 [20] . C'est alors le troisième système informatique européen et le premier français, il est destiné à la recherche publique.

En , le record français est détenu par le TERA-100 de Bull. Installé au CEA à Bruyères-le-Châtel pour les besoins de la simulation militaire nucléaire française, avec une performance de 1 050 téraflops, cette car se hisse au half-dozeneast  rang mondial et gagne le 1er  rang européen [21] . Elle est constituée de 17 296 processeurs Intel Xeon 7500 dotés chacun de huit cœurs et connectés par un réseau de type InfiniBand.

En , Curie, united nations système conçu par Balderdash pour le GENCI, installé sur le site du Très One thousand Centre de Calcul (TGCC) à Bruyères-le-Châtel, dispose d'une puissance de ane,359 pétaflops [22] . Il sera le supercalculateur le plus puissant de France en prenant la ninee  place du classement mondial [23] . Il est conçu pour délivrer ii pétaflops.

En , les systèmes Ada et Turing construits par IBM sont installés à 50'IDRIS d'Orsay. La somme de leur puissance dépasse le pétaflops. Ces deux machines sont à la disposition des chercheurs. En mars 2013, le supercalculateur Pangea [24] détenu par la société Full est inauguré, il devient le système le plus performant jamais installé en France. Sa puissance de calcul s'élève à ii,3 pétaflops. Équivalant à 27 000 ordinateurs de agency réunis, il obtient la 11e  place mondiale [25] .

En , le système Occigen, conçu par Bull, Atos technologies, pour le GENCI est installé sur le site du CINES ; il est doté d'une puissance de 2,1 pétaflops. Il se situait en 26e  position au classement mondial du TOP500 de [26] .

En , Total annonce avoir triplé la capacité de calcul de son supercalculateur Pangea, passant à une puissance de calculs de six,vii pétaflops en pics de performance et de 5,28 pétaflops en puissance utilisable. Cela lui permet de retrouver le 11due east  rang au TOP500 [25] et le place ainsi en tête du secteur industriel mondial [27] .

En , le GENCI met en service Adastra, united nations superordinateur fourni par HPE-Cray hébergé au CINES. Ses 46,10 pétaflops lui permettent de gagner le xeast rang mondial en termes de performances de calcul [28] .

Systèmes d'exploitation pour superordinateurs [modifier | modifier le code]

graphe temporel des systèmes d'exploitation.

Transition des systèmes d'exploitation des superordinateurs d'Unix (en bleu pâle) vers Linux (en vert).

50'essor des supercalculateurs a vu Linux devenir le système d'exploitation équipant la majorité des 500 supercalculateurs les plus puissants de la planète [3] , [29] , Unix perdant progressivement du terrain face à Linux, mais occupant pendant un temps une identify de choix sur le marché des supercalculateurs (5 %).[réf. souhaitée]

Windows ne fut exécuté que par deux des 500 supercalculateurs les plus puissants de la planète, soit 0,4 % [3] , tandis que BSD north'était présent que sur une seule automobile du acme 500, soit 0,two %. Enfin, les autres configurations (« Mixed  », soit un ensemble de plusieurs types de systèmes d'exploitation) représentaient 4,6 %.[réf. souhaitée]

En , Linux équipe la totalité des 500 superordinateurs les plus puissants au monde [30] .

Calculateur quantique [modifier | modifier le code]

Supercalculateurs et jeux de réflexion [modifier | modifier le code]

Notes et références [modifier | modifier le code]

  1. «IBM Bluish cistron announcement », sur IBM.com, (consulté le ) .
  2. Classement Height 500 Juin 2013.
  3. a b et c (en) Les supercalculateurs les plus puissants de la planète et leur système d'exploitation, sur top500.org.
  4. a et b (en) USDA National Nutrient Database for Standard Reference, sur nal.usda.gov.
  5. TOP500 Listing - Nov 2011 (1-100) sur top500.org.
  6. TOP500 Listing - June 2012 (1-100) sur top500.org.
  7. « Le plus puissant super-ordinateur au monde est chinois », Le Monde.fr, 18 juin 2013.
  8. « La Chine devient la première puissance informatique au monde », Jean-Marc De Jaeger, Le Figaro.fr, 21 juin 2016.
  9. a et b (en-US) George Dvorsky, «The World'due south Most Powerful Supercomputer Is an Accented Beast », Gizmodo ,‎ (lire en ligne)
  10. (en-The states) Elijah Wolfson, «The US just retook the title of earth's fastest supercomputer from China », Quartz ,‎ (lire en ligne)
  11. (en-U.s.) «IBM and the Section of Energy show off world's fastest supercomputer, Peak », Digital Trends ,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. «Fujitsu présente le 415-PFLOPS : l'ordinateur le plus puissant du monde », sur Siècle Digital, .
  13. «Le Japon lance le superordinateur le plus puissant au monde pour lutter contre le Covid-19 », sur Les Echos, .
  14. [1], Jacques Cheminat, Le Monde informatique.fr, 30 mai 2022.
  15. «CM-5/128 », sur top500.org (consulté le ) .
  16. «T3E », sur top500.org (consulté le ) .
  17. «AlphaServer SC45, 1 GHz », sur top500.org (consulté le ) .
  18. «Tera-ten - NovaScale 5160, Itanium2 1.6 GHz, Quadrics », sur top500.org (consulté le ) .
  19. «Blueish Gene/P Solution », sur top500.org (consulté le )
  20. « Jade | TOP500 Supercomputing Sites  », sur top500.org, (consulté le ) .
  21. (en) Tera-100 Classement Top500 novembre 2010 sur top500.org.
  22. «Curie thin nodes - Bullx B510, Xeon E5-2680 8C 2.700GHz, Infiniband QDR | TOP500 Supercomputer Sites », sur www.top500.org (consulté le ) .
  23. TOP500 List - juin 2012 (1-100) sur top500.org.
  24. « Pangea : le supercalculateur de Total est le fourteene plus puissant au monde », novembre 2013, sur connaissancedesenergies.org.
  25. a et b «Pangea - SGI Ice X, Xeon E5-2670 8C 2.600GHz, Infiniband FDR », sur top500.org (consulté le ) .
  26. (en) «Occigen - bullx DLC, Xeon E5-2690v3 12C 2.6GHz, Infiniband FDR », sur TOP500.org (consulté le four avril 2016).
  27. «Full triple la puissance de son supercalculateur Pangea - Le Monde Informatique », sur LeMondeInformatique (consulté le ) .
  28. «Classement du supercalculateur Adastra dans le Top 500 : « fifty'ESR peut être fier de cet excellent résultat dans le domaine du HPC » », sur France Universités (consulté le )
  29. Top 500 de juin 2012, sur linuxfr.org.
  30. (en) Steven J. Vaughan-Nichols, « Linux totally dominates supercomputers  », sur ZDNet.com,

Annexes [modifier | modifier le code]

Bibliographie [modifier | modifier le code]

  • Georges Karadimas (Snecma), « Les superordinateurs dans le secteur aérospatial français », dans Nouvelle revue Aéronautique et Astronautique, no  2, (ISSN1247-5793).

Manufactures connexes [modifier | modifier le code]

  • Supercalculateur exaflopique
  • Accélération matérielle / FLOPS
  • Belle, Deep Blueish et Hydra, des supercalculateurs spécialisés cascade le jeu d'échecs
  • BOINC - puissance de calcul distribuée sur des ordinateurs personnels : cf. le projet de l'université de Berkeley.
  • EFF DES cracker
  • GENCI
  • Greenish 500
  • Grille de calcul
  • InfiniBand
  • GPU
  • Projet cerveau humain
  • RIKEN MDGRAPE-3
  • Seymour Cray
  • TER@TEC - Pôle européen de compétence en simulation numérique haute performance.
  • TOP500 : les 500 premiers superordinateurs au monde
  • Musée de l'histoire de l'ordinateur
  • Liste d'ordinateurs de fiction

Liens externes [modifier | modifier le code]

  • Site HPC du commissariat à fifty'énergie atomique (CEA)
  • Site officiel du centre informatique national de l'enseignement supérieur (CINES)
  • Site officiel de 50'institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS)
  • icône décorative Portail de l'informatique

Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Superordinateur

Posted by: barthutred1939.blogspot.com

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